14 – Réponse au quizz 12
Echographie endovaginale. Boucle vidéo.
Ce balayage échographique montre successivement les anomalies suivantes :
-hydrosalpinx suivi jusqu’à la fin de la boucle vidéo (►)
-faux-kyste péritonéal (★), se moulant sur l’ovaire et la trompe.
-kyste endométriosique (►). Ovaire (★)
-Par ailleurs, aucune interface, aucune délimitation n’est retrouvée entre l’ovaire (★), l’utérus (endomètre ♦) et la trompe : adhérences avec bloc utéro-ovarien.
Présence de séquelles inflammatoires en rapport probablement avec une endométriose.
15 – Hydrosalpinx bilatéral
Hystérographie (HSG).
Hydrosalpinx bilatéral (►) intéressant les 2 régions ampullo-pavillonnaires. Les portions interstitielles (►) restent fines.
Très faible passage de produit de contraste dans la cavité péritonéale du côté droit.
Cavité utérine (★).
16 – Hydrosalpinx bilatéral
Hystérographie (HSG).
Hydrosalpinx bilatéral (►), persistant sur le cliché tardif (à droite).
Pas de passage péritonéal.
17 – Trompes normales
Hystérographie (HSG).
Les plis muqueux de la paroi tubaire responsables de l’aspect de « roue dentée », retrouvé en cas d’hydrosalpinx, sont en HSG rarement visibles.
Ils le sont le plus souvent sur des trompes normales sous la forme d’images linéaires de soustraction (en négatif car non opacifiées par le contraste ►).
18 – Hydrosalpinx
IRM- Coupe sagittale T2.
On retrouve la même sémiologie qu’en échographie, avec ici l’aspect de « roue dentée » (►) correspondant aux plis muqueux.
Utérus (♦).
Re = rectum
19 – Hydrosalpinx
IRM coupe transversale T2.
Multiples images liquidiennes postérieures (★), en continuité sur les différentes coupes.
Utérus (♦)
20 – Hydrosalpinx
même patiente que 19
IRM coupe sagittale T2.
Extrémité distale de la trompe (portion ampullo-pavillonnaire ★).
Vessie (★).
© Dr Philippe BASSNAGEL – 2023