
1 – Hydrosalpinx
Echographie endovaginale.
Hydrosalpinx typique : image tubulée, sinueuse, à contenu liquidien.
Absence de flux en mode B (pour les flux très lents) ou en doppler.

2 – Vue coelioscopique

3 – Hydrosalpinx bilatéral
Echographie endovaginale.
Coupe transversale des 2 trompes.
Petites images pseudo-végétantes () au sein de la lumière tubaire, de répartition régulière, donnant l’aspect classique de « roue dentée », caractéristiques de l’hydrosalpinx.
Elles correspondent aux plis muqueux.
TD = trompe droite
TG = trompe gauche

4 – Hydrosalpinx
Echographie endovaginale.
Kyste (♦) paraissant intra-ovarien (d’après l’angle de raccordement inférieur).
En-dessous sur le cliché, une image liquidienne avec l’aspect de « roue dentée » (), en faveur d’un hydrosalpinx.
Ovaire ().
5 – Hydrosalpinx
(même patiente que 4)
Echographie endovaginale. Vidéo.
L’image de kyste ovarien (★) est en réalité en continuité avec l’autre structure liquidienne, ce que montre bien ce balayage échographique.
L’ovaire est distinct (★).
Il s’agit donc d’un hydrosalpinx, sans kyste ovarien associé. La portion la plus dilatée correspondant à la région ampullo-pavillonnaire.

6 – Hydrosalpinx
Echographie endovaginale.
L’image de gauche montre plusieurs structures liquidiennes accolées les unes aux autres (★).
L’image à droite est réalisée après avoir tourné la sonde de 90 ° : les structures liquidiennes sont en continuité. On retrouve de plus des plis muqueux (►).
La trompe était pelotonnée sur elle-même, d’où cet aspect « multikystique ».

7 – Hydrosalpinx
Echographie endovaginale.
Apparition d’un hydrosalpinx droit (►) lors d’une stimulation ovarienne.
Endomètre (♦)

8 – Hydrosalpinx
(même patiente que 7)
Echographie-doppler.
Apparition d’un hydrosalpinx droit avec une lumière tubaire irrégulière (►) lors d’une stimulation ovarienne. La paroi est épaissie (★), séquelle d’un processus inflammatoire.
Pas de flux enregistrable.
© Dr Philippe BASSNAGEL – 2023