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Endométriose postérieure – Page 2

13 – Endométriose postérieure – Echographie

Coupe sagittale.
Nodule endométriosique spiculé hypoéchogène (entre les croix) localisé sur le torus et fixé sur un segment recto-sigmoïdien. La musculeuse (), hypoéchogène, est effacée à ce niveau.
Utérus : col/isthme () et corps ().

14 – Endométriose postérieure – IRM
(même patiente que 13)

Coupe sagittale T2.
Nodule endométriosique du torus en continuité avec la face antérieure épaissie du rectosigmoïde ().
En T1 (non montré), il existe des spots en hypersignal.
Cicatrice d’hystérotomie ().

15 – Endométriose postérieure – Echodoppler

Coupe sagittale montrant un nodule endométriosique hypoéchogène () fixé sur le torus () en avant et un segment recto-sigmoïdien en arrière. Infiltration de la paroi digestive.
La lumière digestive est bien visible (), soulevée par un petit kyste () présentant une image de niveau liquidien, endométriosique.
Musculeuse indemne ().

 

16 – Endométriose postérieure – Echographie

Nodule endométriosique hypoéchogène (croix).
Une portion de ce nodule () infiltre la paroi sigmoïdienne. La musculeuse est totalement effacée à ce niveau. Elle reste visible ailleurs ().

 

17 – Endométriose postérieure – IRM
(même patiente que 16)

Coupe axiale T2.
Nodule endométriosique spiculé () venant du torus et du ligament utérosacré droit, infiltrant le rectosigmoïde épaissi ().
L’importance de la pénétration digestive est plus difficile à évaluer par rapport à l’échographie vaginale.
Ovaires ().

 

18 – Endométriose postérieure – Echographie

Séquence vidéo dans le plan sagittal.
Endométriose sévère.
Nodule endométriosique sur le torus, hypoéchogène (), s’étendant en arrière vers le sigmoïde. La musculeuse () est infiltrée mais non dépassée. La lumière sigmoïdienne () est bien visible par moment, sous la forme d’une ligne hyperéchogène, intacte.
Le tissu endométriosique () rejoint l’ovaire droit qui est porteur d’un kyste hémorragique fonctionnel (), ayant disparu sur une IRM réalisée 2 mois plus tard.

 

19 – Endométriose postérieure – Echographie

Patiente ne se plaignant pas de rectorragies, mais présentant des épisodes sub-occlusifs.
Nodule endométriosique hypoéchogène irrégulier marqué par les croix.
Il envahit la paroi sigmoïdienne. La musculeuse a complètement disparu () et le nodule proche, voire dans la lumière digestive.
Musculeuse normale ().

 

19bis – Endométriose digestive

Echographie endovaginale coupe sagittale (à gauche) – IRM coupe sagittale T2 (à droite).

Volumineux nodule endométriosique situé sur le torus () et infiltrant en arrière la paroi antérieure du rectosigmoïde.
Cette envahissement (entre les croix – ) apparait plutôt hypoéchogène et hyposignal. La lumière digestive est respectée en IRM. Interruption de la musculeuse () en regard du nodule en échographie.

Utérus ()

Cette endométriose profonde n’a été découverte qu’en cours de stimulation ovarienne, alors que les douleurs remontaient à plusieurs années en arrière : ce qui montre la difficulté du diagnostic, et probablement le développement des lésions sous stimulation.

20 – Endométriose postérieure – Echographie

Coupe sagittale.
Petites lésions endométriosiques vaginales à l’examen clinique.
La sonde endovaginale est positionnée dans le CDS postérieur.
On constate un net épaississement de la paroi vaginale, hypoéchogène ().
Reproductibilité de la douleur. 
Col utérin ().

21 – Endométriose postérieure – IRM
(même patiente que 20)

Coupe axiale T1.
Même aspect d’épaississement de la paroi vaginale, parsemée de multiples images punctiformes en hyper T1 () en coupe transversale : atteinte vaginale endométriosique.
Col utérin ().


© Dr Philippe BASSNAGEL – 2022