1 – Ovaires micropolykystiques (OPK)
Echographie endovaginale.
2 gros ovaires dans le cul-de-sac de Douglas, en contact l’un avec l’autre (« kissing ovaries »).
Très nombreux petits follicules.
On retrouve 2 aspects morphologiques caractéristiques (mais pas toujours présents) :
-la disposition périphérique des follicules (►)
-l’hypertrophie centrale du stroma (★).
2 – Ovaires micropolykystiques (OPK)
Echographie endovaginale. Séquence vidéo.
Très nombreux follicules, largement supérieurs à 20 (seuil retenu par définition).
3 – Ovaire micropolykystique
Echographie endovaginale 3D avec reconnaissance automatique des follicules.
Patiente SOPK (syndrome des ovaires micropolykystiques).
Ovaire porteur d’au moins 51 follicules après stimulation ovarienne (qui a été naturellement rapidement interrompue).
4 – Ovaires micropolykystiques (OPK)
IRM coupe axiale T2, montrant la même sémiologie.
La disposition périphérique des follicules (►) et l’hypertrophie centrale du stroma (★) sont évidentes, en plus de leur très grand nombre.
5 – Hyperstimulation ovarienne
Echographie par voie abdominale.
Présence de 2 volumineux ovaires en fosse iliaque, porteurs de plusieurs images liquidiennes hypoéchogènes hémorragiques.
L’examen est réalisé après la ponction folliculaire (voir aussi chapitre « Endométriome » images 17 et 18 pour les aspects IRM post ponction folliculaire).
Ovaire droit (►)
Ovaire gauche (►)
6 – Hyperstimulation ovarienne
(même patiente que 5)
Echographie par voie abdominale avec doppler.
Volumineux ovaire en fosse iliaque, porteur de plusieurs images liquidiennes hypoéchogènes hémorragiques (★).
Importante vascularisation en doppler couleur, habituelle dans ce contexte.
7 – Hyperstimulation ovarienne
(même patiente que 5)
Echographie par voie abdominale.
Epanchement péri-hépatique marqué (★).
La présence d’un épanchement péritonéal correspond à une hyperstimulation de grade 3 dans la classification de Nolan modifié (sur 5). Il faut aussi le rechercher en pelvien et dans les gouttières pariéto-coliques. Le rechercher aussi en pleural.
Foie (★)
8 – Hyperstimulation ovarienne
Acquisition volumique 3D avec reconstruction du volume, et comptage folliculaire.
Au moins 39 follicules sont ainsi dénombrés sur cet ovaire.
Patiente suivie en Assistance Médicale à la Procréation pour des ovaires micropolykystiques, facteur de risque d’hyperstimulation.
9 – Hyperstimulation ovarienne
Echographie. Coupe transversale sur le pelvis par voie sus-pubienne.
L’utérus au centre de l’image (♦) semble flotter dans le liquide péritonéal (★), seulement rattaché à la paroi par les ligaments larges (►).
© Dr Philippe BASSNAGEL – 2024