Atlas d’images échographiques
Endométriomes
Les pages suivantes présentent en 30 images et vidéo annotées les différents éléments sémiologiques de l’endométriose ovarienne.
Les différents aspects sémiologiques sont rappelés, en échographie et en IRM, sans oublier les diagnostics différentiels. Ces derniers concernent surtout l’échographie, mais aussi l’IRM – l’hypersignal T1 est cependant quasi pathognomonique de l’endométriome -.
En cas d’infection génitale, l’imagerie peut prêter à confusion (Chapitre « Infections génitales hautes/Abcès tubo-ovariens et pyosalpinx » images 18 à 21).
Un kyste endométriosique n’a pas du tout la même valeur lorsqu’il est isolé ou intégré à une endométriose stade 4. La prise en compte des doléances de la patiente reste donc comme d’habitude fondamentale. En particulier pour corréler, ou pas, les douleurs présentées et l’image.
Pour le clinicien, et dans un contexte d’infertilité, la visibilité de follicules et l’accessibilité de l’ovaire à une éventuelle ponction en cas de protocole FIV sont des éléments importants.
The following pages present, in 30 annotated images and videos, the various semiological elements of ovarian endometriosis.
The various semiological aspects are reviewed, in ultrasound and MRI, without forgetting the differential diagnoses. These mainly concern ultrasound but also MRI—the T1 hyperintensity is, however, almost pathognomonic of endometrioma. In cases of genital infection, imaging can be confusing (Chapter ‘Upper Genital Infections/Tubo-ovarian Abscesses and Pyosalpinx,’ images 18 to 21).
An endometriotic cyst does not have the same significance when it is isolated or part of stage 4 endometriosis. Considering the patient’s complaints remains, as always, crucial. Particularly to correlate, or not, the presented pain with the image. For the clinician, and in the context of infertility, the visibility of follicles and the accessibility of the ovary for potential puncture in the case of an IVF protocol are important elements.
Dr Philippe Bassnagel